A la suite de sa nomination en tant que sélectionneur des Fennecs, Vladimir Petković était en Algérie ce dimanche soir au lundi matin à l’occasion d’une visite sur terrain, la signature de son contrat, mais également pour sa première conférence de presse.
Le sélectionneur suisse a abordé plusieurs sujets lors de cette conférence de presse qui s’est tenue en Alger ce lundi, dont l’échec de l’Algérie durant la CAN 2023. Le coach de 60 ans estime que les Fennecs était au niveau pour surmonter les défis de cette compétition, mais que les pressions et les polémiques médiatiques sont l’auteur de leur déchéance, lançant ainsi un ultimatum au micro d’Algérie Football Média :
Je pense que le problème à la Coupe d’Afrique n’était pas un problème de niveau mais de pression. Et quand je vous vois (les journalistes), je peux le comprendre. Exercer de la pression de manière négative n’est pas une bonne chose, je n’aime pas du tout. Et je combattrai ceux qui le feront.
🚨Vladimir Petkovic 🎙️:
« Je pense que le problème à la coupe d’Afrique n’était pas un problème de niveau mais de pression. Et quand je vous vois (les journalistes) je peux le comprendre.
Exercer de la pression de manière négative n’est pas une bonne chose, je n’aime pas du… pic.twitter.com/TeIMgRStJA
— Algérie Football Média 🇩🇿 (@DZFOOTBALLDZ) March 4, 2024
Questionné également sur ses objectifs à la tête des Fennecs, l’ex-entraîneur de la Suisse crée une polémique auprès du peuple algérien. Si la qualification pour la Coupe du monde 2026 a été mise en relief, la CAN 2025 par contre n’a pas du tout été évoquer et semble même pas faire partit des priorités du nouveau sélectionneur.
Les objectifs ? Le premier objectif consiste à progresser continuellement. Et pour moi, le prochain match est toujours plus important que le précédent. La qualification en Coupe du Monde est un objectif très important.
Bien que cette déclaration ait suscité plus de colère que de surprise, Vladimir Petković affiche plutôt la confiance sur le parcours des Fennecs lors de la 35e édition de la CAN que de l’ignorance. Avec l’avancement à grand pas pour les confrontations internationales, les ambitions du technicien de 60 ans seront mises à l’épreuve, notamment de son assurance pour sa première mission sur le sol africain.